Le thérapeute ne fait aucun bilan. Jamais il ne préconise l’arrêt d’un traitement médical en cour sans un accord préalable d’un professionnel et ne conteste pas à un acte chirurgical qui vous serait préconisé.
En aucun cas il ne préconise un arrêt ou la suspension d’un examen, d’un suivi ou la recherche médicale qui servirait à déterminer la/les causes de votre maladie.
Par nécessité et pour le confort, la sécurité et le bien être de son patient, le thérapeute peut l’adresser à un professionnel confirmé plus à même de traiter son problème.
Il ne communique en aucun cas les résultats de sa séance sauf si le patient lui donne son approbation.
Il se doit de respecter et d’honorer le secret professionnel avec la plus grande discrétion.
Il se doit d’apporter un réconfort, un soulagement, et un soin de qualité à son patient dans les limites de ses dons.
Il pourra exercer sa profession et ses dons bénévolement si nécessaire, à tous les nécessiteux : handicapés, malade en phase terminale et autres indigents sur la requête ou le bon vouloir d’un médecin traitant.
Il ne pourra fournir aucun type de soins quel qu’il soit aux personnes mineures ou ayant des problèmes mentaux sans la présence d’une personne légalement choisie.
Lors de chaque séance, il se doit de rester bienséant, honnête, sobre et de bonne foi sur les soins qu’il fait. Il ne doit en aucun cas faire appel aux superstitions, ni utiliser toutes malversations que ce soit. Chaque conseil se doit d’être vrai, le mensonge est proscrit.
Pour chaque séance qu’il fera, le thérapeute ne devra pas amplifier la portée de ses dons et compétences. Cela représente une garantie dans la bénignité de son acte qui sera que complémentaire à un acte médical certifié.
Le thérapeute devra se préserver de divulguer ses dons et ses qualités intellectuelles et morales.
Il devra nécessairement et obligatoirement faire état de sa profession dans le pays ou l’état dans lequel il exerce son activité et maintenir le respect des règles et statuts en vigueur.
Le thérapeute doit obligatoirement respecter le serment d’Hypocrate « Primum, non nocere » peut importe le lieu.